Pour faciliter au lecteur/utilisateur la tâche de refermer le livre, j'ai collé une image sur la face avant. Plutôt que de se demander quel morceau de feuille va sur l'autre, on cherche à recomposer l'image. Il m'est alors venu l'idée d'avoir sur la face extérieure une image qui invite à ouvrir le livre : sur cette maquette, une porte de frigo. Lorsqu'on l'ouvre, on est face à l'intérieur du frigo.
En discutant avec Pierre sur les notion d'intimité, de la part de découverte que l'on offre à autrui, de la façon dont on se dévoile, j'ai quelques pistes possibles pour mes prochaines maquettes.
Je peux d'une part me resservir de l'idée du frigo pour créer une série sur l'ouverture et la fermeture en jouant sur les différences entre l'apparence extérieure et ce que cela révèle à l'intérieur.
Pourquoi ne pas faire prendre la décision au lecteur d'abîmer le livre dès l'ouverture ? L'image collée sur le dessus pourrait ne pas être découpée. Au lecteur de mettre les mains dedans pour commencer la lecture.
Cela me semble être une métaphore assez juste de l'intimité que l'on juge bon ou non de révéler. Ce que l'on montre de soi peut être une invitation à aller creuser un peu plus loin, tout en laissant le choix à l'autre de le découvrir ou non.
La suite concerne certaines de mes premières maquettes que je n'ai pas encore photographiées...
jeudi 17 décembre 2009
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1 commentaire:
c'est vraiment génial, Dans la position replier, limage du dessus pourait aussi être pré découpé en pointillé, a quelque endroit pour fair tout de même une invitation à la déchirure
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